30 octobre 2012
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A l'enfance d'un petit fauve tu prêtais attention,
Solitaire orphelin, il était livré à lui même,
Dans ses pas endurcis il gardait espoir,
Dans l'élégance de ses jeunes pas,
La vie lui prêtait le pas vers un horizon désert,
Au crépuscule il s'assoupissait difficilement,
Un jour loin de ses larmes asséchées par le soleil
Il bravait enfin la jungle et retrouvait les pas de son corps.